Chord(s) to poly périodes
Ce patch fait une translation fréquences -> pulsations autour du « pivot » donné et du facteur multiplicatif temporel « rapport »
Extraction de parcours optimisés sur un polyrythme
A partir d’une sequence polyrythmique quelconque en entrée…
le patch va parcourir les données temporelles et créer une nouvelle ligne ou chaque note est la « première prochaine disponible »
Cela permet de créer des polyrythmes ou les notes répétées ne seront pas jouées par un même instrument , créant ainsi une sorte de mouvement kaléidoscopique de timbres.
Créateur de séquences polyrythmiques périodiques
ici avec les valeurs (2 3 5 6), intervalle de -100 entre les notes et de -100 entre les voix (paramètres du patch) nous obtenons
Les autres sous-patchs sont des processus de transformations de ce matériau, comme « prtm2accentscales-4poly » qui va combler le temps entre les notes par une intervalle donnée en argument
ou comme par exemple « apply_zigzag_pl2pl » avec les valeurs (6 0) qui va transposer une note sur 2 d’une quarte augmentée (le do initial devient donc fa#)
Générateur de séquences de paires polyrythmiques
L’objet comprend une syntaxe décrivant une paire polyrythmique ainsi que le paramètre « r » pour avoir des subdivisions irrationnelles des temps ou « e » pour avoir une notation avec plus petit multiple commun (le tempo de base change alors…). La longueur des séquences n’a pas de limite, à part la mémoire de la machine.
Les BPF sur la droite du patch décrivent le profil mélodique appliqué entre les bornes données en notation solfégique, que soit sur la totalité de la séquence (comme c’est le cas ici) ou pour chaque mesure.
exemple sur chaque mesure (avec ou non le profil global)
Ici profil local et global ont le même BPF.
la 7è entrée permet de demander une sortie concaténée ou sur deux voix (ici concaténée)
Les hauteurs obtenues avec ces processus sont juste le résultat de la division de l’ambitus par le nombre de notes contenues dans la paire polyrythmique.
Ils ne sont jamais utilisés tels quels mais sont ensuite traités par un autre patch permettant de « quantifier » harmoniquement les hauteurs à une cible.